Olaf Ludwig (né le à Gera-Thieschits) fut l'un des meilleurs cyclistes allemands durant les années 1980 et 1990. Ces principaux succès en tant qu'amateur furent deux victoires finales sur la Course de la Paix (1982 et 1986), dont il détient le record d'étapes (38 succès) et la médaille d'or de la course en ligne des Jeux olympiques de 1988. Durant sa carrière professionnelle, il gagna trois étapes du Tour de France, ainsi que le maillot vert du classement par points. En 1992, il remporta le classement final de la Coupe du monde. L'année suivante, il prit la troisième place de la course en ligne aux championnats du monde sur route. À la fin de sa carrière, il créa la société Olaf Ludwig Cycling GmbH, qui géra l'équipe T-Mobile jusqu'au . Il exerça également diverses fonctions à la fédération allemande de cyclisme, au sein de l'équipe T-Mobile, et à l'Union cycliste internationale.
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Olaf Ludwig
Olaf Ludwig (2002)
Informations
Naissance
(62 ans) Gera
Nationalité
Allemande
Distinctions
Ordre du Mérite patriotique d'or Sportif de RDA de l'année (d) ( et )
Équipes amateurs
1979-1989
SG Wismut Gera
Équipes professionnelles
1990-1992
Panasonic-Sportlife
1993-1996
Telekom
Équipes dirigées
2000-2006
T-Mobile
Principales victoires
Championnats et Jeux olympiques Champion olympique sur route 1988 Champion du monde des 100 km contre-la-montre par équipes 1981 Champion d'Allemagne de l'Est sur route 1986, 1989 et 1990 Champion d'Allemagne de l'Est de la course aux points 1986 et 1987 Champion d'Allemagne de l'Est de l'américaine 1981 Classiques Grand Prix E3 1991 Amstel Gold Race 1992 Courses à étapes Course de la Paix 1982 et 1986 1 classement distinctif de grand tour Classement par points du Tour de France 1990 3 étapes dans les grands tours Tour de France (3 étapes)
Les parents d'Olaf Ludwig étaient Rolf, machiniste († 1977), et Sieglinde Ludwig. À partir de 1967, la famille habita à Thieschitz, sur la commune de Gera, un petit faubourg au caractère rural. Olaf Ludwig se passionna tôt dans son enfance pour le sport – il jouait au football et pratiquait l'athlétisme. Dans ces deux sports, il disposait d'après ses entraineurs d'un talent certain.
En mai 1972, Gera accueillit une étape de la Course de la Paix. Cet événement fut si impressionnant pour le jeune Olaf Ludwig (12 ans) qu'il commença le cyclisme à la Sportgemeinschaft Dynamo Gera Mitte. Son talent y fut vite remarqué. À peine un an plus tard, le jeune garçon devait être confié à un club berlinois, conformément au programme de détection sportif de la RDA. Cela impliquait de l'envoyer dans un internat. Ses parents s'y opposèrent, et Olaf resta à Gera. À partir de 1972, il fut entraîné au SG Wismut, qui était lié à la Sportgemeinschaft Dynamo, par l'ancien coureur cycliste Werner Marschner qui le fit progresser. Après avoir pris la troisième place de l'Internationalen Junioren-Sternfahrt à Neugersdorf, il fut sélectionné dans l'équipe nationale junior.
1977 fut une année riche de succès pour le jeune Olaf Ludwig. Aux Championnats de la jeunesse de l'amitié (Jugendwettkämpfen der Freundschaft) de La Havane, il remporta avec Thomas Barth, Falk Boden et Andreas Kluge le contre-la-montre par équipe. Quelques semaines plus tard, cette équipe fut médaillée d'or aux championnats du monde junior à Stockerau en Autriche. En août, il rencontra en discothèque Heike Födisch, qui devint sa femme. Cette année réussie pour Olaf Ludwig fut néanmoins assombrie en novembre par la mort de son père Rolf.
L'équipe est-allemande conserva son titre aux championnats du monde junior à Washington en 1978. À la fin de l'année suivante, son amie Heike lui annonça qu'elle était enceinte. Ludwig, qui préparait déjà sa participation aux Jeux olympiques, dut informer alors l’Union sportive et gymnique allemande (Deutscher Turn- und Sportbund, DTSB) qu'ils désiraient se marier après les Jeux. Deux raisons à cela: d'une part le gouvernement faisait en sorte que ses sportifs paraissent des hommes intègres et de bons pères de famille, d'autre part les sportifs ayant une attache familiale avaient moins de risque de profiter d'un de leurs voyages à l'étranger pour fuir vers l'ouest. À l'été 1979, il passa son Abitur à Gera avec Thomas Barth. À côte de sa carrière de coureur cycliste, il entreprit des études pour devenir professeur de sport. Il n'exerça cependant jamais cette profession.
Carrière amateur
En 1980, il participa pour la première fois à la Course de la Paix, et fit sensation en remportant d'emblée la première étape et en portant le maillot jaune durant les deux étapes suivantes. À Berlin, il gagna la sixième étape, sous les yeux du gouvernement de la RDA, siégeant sur la tribune devant la ligne d'arrivée. Il s'imposa également sur la huitième étape et, finalement, sur le contre-la-montre en côte à Solenice en Tchécoslovaquie. Il acheva ainsi sa première Course de la Paix à la troisième place du classement général.
La même année, il participa à ses premiers Jeux olympiques à Moscou. En contre-la-montre par équipe, il remporta la médaille d'argent avec Hans-Joachim Hartnick, Bernd Drogan et Falk Boden, mais ne termina qu'à la vingt-troisième place de la course individuelle. De retour en Allemagne, il se maria avec Heike, après la naissance de leur fille Madlen le .
En 1981, il triompha au Tour de Basse-Saxe, et remporta cinq étapes de la Course de la Paix, dont il prit la quatrième place. En 1982, il fêta sa première victoire finale sur la Course de la Paix, après avoir acquis le maillot jaune sur le prologue, et l'avoir perdu puis repris le lendemain et le surlendemain. Sur les conséquences de ces victoires, il écrivit dans son autobiographie Höllenritt auf der Himmelsleiter:
«La course triomphante dans un océan de drapeaux se dissipa vite, mais l'enthousiasme des gens demeura. Durant des semaines, l'employée de la poste de Thieschitz du acheminer tant de kilos de lettres et de cartes, qu'après quelques jours, épuisée, elle tenait les opérations de ventes devant notre clôture. […] C'était incroyable. J'ai alors pris conscience de la responsabilité que l'on a en tant que sportif, lorsque l'on fait la course en tête et rencontre le succès. Qu'on le veuille ou non: chacun s'approprie notre personnalité, nous observe, et nous élève au rang de célébrité et d'exemple. […] Et pourtant cette vague d'intérêt m'a donné beaucoup de force. Le souhait de ne pas décevoir mes nombreux fans et amis m'a poursuivi lors se chaque course ou entraînement autour du globe.»
(«Die Triumphfahrt im Fahnenmeer war schnell verrauscht, aber die Begeisterung der Menschen hielt an. Wochenlang musste unsere Postfrau in Thieschitz Briefe und Karten kiloweise heranschleppen, nach ein paar Tagen hing sie entnervt nur noch die Einkaufstaschen voller Post an unseren Gartenzaun. […] Es war unglaublich. Damals ist mir wirklich bewußt geworden, welche Verantwortung man als Sportler auf sich lädt, wenn man vornwegfährt und Erfolg hat. Ob man will oder nicht: Man wird von jedermann vereinnahmt, auf Schritt und Tritt beobachtet, zur gesellschaftlichen Person und zum Vorbild ernannt. […] Und doch hat mir diese Woge der Aufmerksamkeit viel Kraft gegeben. Der Vorsatz, die vielen Fans und Freunde in der Heimat nicht zu enttäuschen, hat mich bei allen meinen Rennen als Rückhalt und Antrieb rund um den Globus verfolgt.»)
En septembre 1982, il gagna avec l'équipe nationale de RDA le classement par équipes du Tour de l'Avenir. En 1983, il fut le vainqueur final de cette épreuve. Il devint père pour la deuxième fois cette même année, à la naissance de Steven le .
En 1984, il ne put se rendre aux Jeux olympiques de Los Angeles, à cause de leur boycott par les pays socialistes. À la place, il participa au Triangle de Schleiz (Schleizer Dreieck), alors nommé Internationalen Wettkämpfe der Freundschaft. Une victoire lors de cette compétition, à laquelle concouraient 33 coureurs de onze pays, était considérée par le DTSB comme une victoire olympique. Bien qu'il fût de la région, Olaf Ludwig dut se contenter de la huitième place.
En 1985, il dut pour la première fois renoncer à prendre le départ de la Course de la Paix à cause d'un coup de froid. Il fut néanmoins le vainqueur final du Tour de Rhénanie-Palatinat peu après.
Olaf Ludwig, vainqueur du Tour de Berlin en 1987Olaf Ludwig en 1987
Sa deuxième victoire finale sur la Course de la Paix vint en 1986. L'épreuve partit de Kiev le , seulement deux semaines après l'explosion du réacteur de Tchernobyl. En raison de la proximité du réacteur, les coureurs occidentaux déclarèrent forfait, à l'exception des Français et des Finlandais. Conformément aux instructions du gouvernement, l'équipe de la RDA prit le départ, et Olaf Ludwig en sortit grand vainqueur. Il se vit décerner pour ce succès le titre de sportif est-allemand de l'année.
La Course de la Paix 1987 vit la première participation de l'Ouzbek Djamolidine Abdoujaparov. Il devint durant les années suivantes le plus sérieux rival d'Olaf Ludwig. Leur duel au sprint devint légendaire.
En 1988, Olaf Ludwig devint champion olympique de cyclisme sur route à Séoul, devant les deux coureurs ouest-allemand Bernd Gröne et Christian Henn. Pour cette victoire, il fut décoré par Erich Honecker de l'ordre du mérité patriotique. Il devint également pour la seconde fois sportif de l'année.
L'année 1989 fut décevante pour Ludwig. Après une prestation médiocre sur le Course de la Paix, il se cassa le pouce droit aux championnats du monde à Chambéry et ne put participer à la course. À l'automne, il se fractura la main durant un voyage en Australie avec l'équipe est-allemande. Il pensa à l'époque mettre fin à sa carrière.
Carrière professionnelle
Olaf Ludwig, Jan Schur, Jens Heppner au championnat de RDA de cyclisme en 1989
Après la chute du Mur de Berlin à l'automne 1989, il décida de faire carrière chez les professionnels pendant sept ans. Ludwig envisagea d'abord de s'engager avec l'équipe Team Stuttgart (dont fut issue l'équipe Telekom en 1991), mais la signature du contrat échoua le en raison d'un incident technique: le répondeur du coureur n'avait pas enregistré l'appel lui communicant où devait avoir lieu la signature. Par conséquent, Olaf Ludwig s'engagea avec l'équipe néerlandaise Team Panasonic Sportlife. Le coureur et sa famille durent s'installer aux Pays-Bas, et emménagèrent à Fauquemont au début de l'année 1990.
Sa première course professionnelle fut le Tour d'Andalousie en février 1990, où il remporta les deux premières étapes. La même année, il gagna une étape du Tour de France, ainsi que le maillot vert du classement par points.
En avril 1992, il prit la deuxième place du légendaire Paris-Roubaix derrière le Français Gilbert Duclos-Lassalle. Il eut avec cette course une sorte de relation amour-haine durant sa carrière - il fut troisième en 1993, quatrième en 1994. Cette deuxième place en 1992 permit à Ludwig de prendre la tête du classement de la Coupe du monde. Il garda cette place jusqu'à la dernière épreuve en octobre à Majorque, et remporta la Coupe du monde. Entretemps, il gagna l'Amstel Gold Race à Maastricht et fut fêté en héros dans sa patrie d'adoption. En mai, il s'imposa aux Quatre Jours de Dunkerque, et gagna la dernière étape du Tour de France sur les Champs-Élysées en juillet.
En 1993, il passa chez Team Telekom, à laquelle il offrit sa première victoire d'étape sur le Tour de France le à Montpellier. Le , il prit la troisième place de l'épreuve en ligne des championnats du monde derrière Lance Armstrong et Miguel Indurain. À l'automne, il devint père pour la troisième fois, avec la naissance de sa fille Romina.
En 1994, il remporta le Rund um den Henninger-Turm. L'année suivante fut particulièrement décevante: 24e de Paris-Roubaix, il abandonna prématurément sur le Tour de France, après s'être classé 161e de la neuvième étape. Il décida alors de se concentrer en 1996, à 36 ans, sur sa troisième participation aux Jeux olympiques, pour ensuite mettre un terme à sa carrière. Le , il reçut du maire de Gera Ralf Rauch le titre de citoyen d'honneur de sa ville natale.
Après quelques déveines au début de l'année 1996 – des crevaisons l'écartèrent de la victoire au Tour des Flandres, aux Trois Jours de La Panne et à Paris-Roubaix – il finit huitième du Rund um den Henninger-Turm et remporta pour la deuxième fois le Tour de Rhénanie-Palatinat le . Il participa ensuite à la course en ligne des Jeux olympiques, mais ne put prendre que la seizième place. Le vainqueur, Pascal Richard, était entraîné comme Ludwig huit ans auparavant par l'ancien entraîneur de la sélection est-allemande, Wolfram Lindner, alors entraîneur fédéral en Suisse. Il disputa sa course d'adieu lors d'une course en circuit à Gera, qu'il gagna devant Djamolidine Abdoujaparov. La Stade de l'Amitié (Stadion der Freundschaft) où se situait la ligne d'arrivée accueillit 20 000 personnes. Durant l'hiver 1996-97, il participa à plusieurs Six jours à Dortmund, Cologne, Brême, Stuttgart, Berlin et Milan. Il s'imposa à Cologne et Berlin. Sa dernière course fut une course d'adieu pour Danny Clark, Michael Hübner et lui-même dans la nuit du 14 au .
La carrière de dirigeant
En 1997 parut son autobiographie, publiée par le journaliste sportif Helmut Wengel. Celle-ci renferme entre autres des contributions de Täve Schur, Eddy Merckx et Mario Kummer. Olaf Ludwig y délivre ce regard sur sa carrière:
«Je ne regrette rien. Pas même mon passé en RDA, que je revendique. Je dois remercier le système pour ma formation, ma progression et mon ascension parmi l'élite mondiale du sport amateur. Que nous ne mettions pas en cause le système qui nous a soigneusement protégés, formés et gardés, qui peut rétrospectivement nous le reprocher? L'humanité, les relations, l'entraide, l'assistance de son prochain ont toujours été décisifs pour moi. J'ai toujours cherché à rester MOI, aussi bien sportivement, politiquement qu'en privé.»
(«Ich bereue nichts. Auch nicht meine Vergangenheit in der DDR, zu der ich stehe. Dem System habe ich meine Ausbildung, meine Förderung und meinen Aufstieg in die Weltspitze des Amateurradsports zu verdanken. Daß wir das System, in dem wir sorgsam behütet, gefördert und auch bewacht wurden, nicht in Frage stellten - wer will uns das im nachhinein vorwerfen? Entscheidend war für mich immer das Menschsein, der Umgang miteinander, die Hilfe untereinander, die Fürsorge des einen für den anderen. Ich habe immer versucht, ICH zu bleiben - ob sportlich, politisch oder privat.»)
Après sa carrière de coureur, Olaf Ludwig fut vice-président de la fédération allemande de cyclisme (1999-2000). En 2000, il devint porte-parole de l'équipe Telekom (qui devint T-Mobile en 2003), ainsi que membre de la commission professionnelle de l'Union cycliste internationale. Après que l'équipe T-Mobile fut dirigée par le couple Walter Godefroot/Olaf Ludewig, la direction de l'équipe fut confiée à la seule société Olaf Ludwig Cycling GmbH créée par Olaf Ludwig. À la fin du Tour de France, le sponsor principal annonça vouloir mettre à l'essai sa collaboration avec Ludwig et Mario Kummer. Le , la société T-Mobile décida finalement qu'elle mettrait un terme à sa collaboration avec Ludwig le suivant à la suite de l'implication du leader de l'équipe Jan Ullrich et de Rudy Pevenage dans l'affaire Puerto[1].
Olaf Ludwig habite aujourd'hui avec sa famille à Stolberg-Breinig près d'Aix-la-Chapelle.
Palmarès sur route
Palmarès amateur
1977
Champion du monde du contre-la-montre par équipes juniors (avec Thomas Barth, Andreas Kluge, et Falk Boden)
1978
Champion du monde du contre-la-montre par équipes juniors (avec Thomas Barth, Udo Smektalla, et Falk Boden)
1979
3eétape du Tour de RDA
3e du championnat d'Allemagne de l'Est de la montagne amateurs
1980
Tour de l'Oder
4ea étape du Circuit de la Sarthe (contre-la-montre)
1re, 6e, 8e (contre-la-montre) et 13ea (contre-la-montre) étapes de la Course de la Paix
Prologue (contre-la-montre par équipes), 1re, 4e et 5e (contre-la-montre) étapes du Tour de RDA
Médaillé d'argent du contre-la-montre par équipes des Jeux olympiques
2e du Tour de Thuringe
2e du Tour de RDA
3e de la Course de la Paix
1981
Champion du monde amateur des 100 km du contre-la-montre par équipes (avec Bernd Drogan, Falk Boden et Mario Kummer)
6eétape du Tour de Cuba
Tour de Basse-Saxe:
Classement général
1re, 4e et 6eétapes
1re, 3ea (contre-la-montre), 6ea (contre-la-montre), 6eb et 11ea (contre-la-montre) étapes de la Course de la Paix
Prologue (contre-la-montre par équipes), 5e (contre-la-montre) et 6eétapes du Tour de RDA
3e du Tour de l'Yonne
1982
Berlin-Cottbus-Berlin
Course de la Paix:
Classement général
Prologue, 4e, 8e, 10e et 11e (contre-la-montre) étapes
Tour de la Hainleite
3e et 7eétapes du Tour de RDA
8eétape du Tour de Slovaquie (contre-la-montre)
Tour de la Communauté européenne:
Classement par points
Classement des rushes
2e (contre-la-montre par équipes) et 7eétapes
1983
Champion d'Allemagne de l'Est de la montagne amateurs
Prologue et 4eétape du Tour de la Méditerranée
3ea (contre-la-montre par équipes), 3eb (contre-la-montre) et 5ea (contre-la-montre) étapes du Tour de Basse-Saxe
5eb et 6ea étapes du Tour des régions italiennes
Prologue, 2e, 3e, 5e et 7e (contre-la-montre) étapes de la Course de la Paix
Tour de RDA:
Classement général
Prologue, 4e et 5e (contre-la-montre) étapes
Tour de la Communauté européenne:
Classement général
Classement par points
Prologue, 2e, 5e et 6eb (contre-la-montre) étapes
International Olympia Preis (contre-la-montre par équipes)
3e de la Course de la Paix
3e du championnat d'Allemagne du contre-la-montre amateurs
6e du championnat du monde sur route amateurs
1984
2e, 3e (contre-la-montre), 10e et 11eétapes de la Course de la Paix
Prologue, 4e et 6eétapes du Tour de RDA
3e, 4eb (contre-la-montre) et 5eétapes du Tour de Liège
3e et 7eétapes du Tour de Slovaquie
2e du championnat d'Allemagne de l'Est sur route amateurs
3e de la Course de la Paix
3e du Tour de Bohême
1985
Tour de RDA:
Classement général
1re et 6e (contre-la-montre) étapes
Tour de Rhénanie-Palatinat
Prologue et 5eétape du Grand Prix Guillaume Tell
2e du Tour de Norvège
1986
Champion d'Allemagne de l'Est sur route amateurs
Berlin-Leipzig
Prologue et 4eétape du Tour du Vaucluse
Course de la Paix:
Classement général
3e, 4e, 5e, 8e, 9e, 13e et 15eétapes
1re (contre-la-montre par équipes) et 6eétapes du Tour de RDA
2e du Tour de Rhénanie-Palatinat
8e du championnat du monde amateurs de course en ligne amateurs
1987
1re et 4eétapes de la Course de la Paix
Rund um Berlin
3eétape du Tour de RDA
2e du Tour du Hainaut occidental
3e du Tour de l'Yonne
3e du Tour de RDA
1988
Champion olympique sur route
Prologue et 3eétapes du Tour du Vaucluse
Tour de Thuringe
4e, 8e, 10e et 11eétapes de la Course de la Paix
Prologue et 7ea étapes du Grand Prix Guillaume Tell
2eétape du Tour de RDA
3e du championnat d'Allemagne de l'Est sur route amateurs
1989
Champion d'Allemagne de l'Est sur route amateurs
2eétape du Circuit de la Sarthe
6e et 7eétapes de la Course de la Paix
3e et 6ea (contre-la-montre) étapes du Tour de Belgique amateurs
2e du Grand Prix de Waregem
2e du Tour de Belgique amateurs
3e du Zesbergenprijs Harelbeke
Palmarès professionnel
1990
Champion d'Allemagne de l'Est sur route
1re, 2e et 5eétapes du Tour d’Andalousie
3eétape de la Semaine sicilienne
1rea étape des Trois Jours de La Panne
1re, 2e et 9eétapes du Tour de Trump
2eétape du Tour de Suisse
Tour de France:
Classement par points
2e (contre-la-montre par équipes) et 8eétapes
5eétape du Tour d'Irlande
Tour de Norvège
1991
6eétape du Tour de Murcie (contre-la-montre)
Grand Prix E3
GP Forbo
7eétape du Tour de Suisse
Mémorial Rik Van Steenbergen
1reétape du Tour des Pays-Bas
2e et 5eétapes du Tour d'Irlande
2e du Tour des Pays-Bas
2e de Veenendaal-Veenendaal
2e de Paris-Bruxelles
2e de Paris-Tours
3e de Gand-Wevelgem
3e du Grand Prix de la Libération
6e de l'Amstel Gold Race
9e de Paris-Roubaix
9e du classement FICP
1992
Coupe du monde
2e et 6e (contre-la-montre par équipes) étapes du Tour méditerranéen
Kuurne-Bruxelles-Kuurne
À travers la Belgique
1re, 2e et 3eb (contre-la-montre) étapes du Tour d'Aragon
Amstel Gold Race
Quatre Jours de Dunkerque:
Classement général
2eétape
5e et 10eétapes du Tour de Suisse
4e (contre-la-montre par équipes) et 21eétapes du Tour de France
Olaf Ludwig est décoré en 1988 de l'ordre du mérite patriotique (Vaterländischer Verdienstorden)
Palme d'or Merlin International: 1983
Lauréat du Trophée Adidas: 1983
Cycliste allemand de l'année: 1990 et 1992
Bibliographie
(de) Olaf Ludwig: Höllenritt auf der Himmelsleiter. Etappen meines Lebens. Publié par Helmut Wengel. RhinoVerlag, Arnstadt & Weimar 1997, (ISBN3932081188)
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